Je travaille avec des patients adultes, adolescents ou enfants : Etat dépressif et anxieux, burn out, addictions, phobies, obsessions, hallucination et délires.
La psychothérapie s’adresse à tous. A vrai dire, elle traite les zones d’ombres, celles qui empêchent les individus de se réaliser complètement. Quelles qu’elles soient, le désir de se libérer par la parole est au cœur de la réussite d’une psychanalyse. Avant toute chose, un patient doit savoir que faire une psychothérapie ou une psychanalyse est une démarche personnelle. C’est un choix que l’on souhaite se donner. Il ne s’agit pas de changer. Au fond, il s’agit de grandir et de se construire un savoir y faire avec soi et dans lequel on se sentira en paix.
La psychothérapie
Pourquoi faire une psychothérapie ou une psychanalyse?
Pour commencer, c’est s’autoriser, pendant un moment de sa vie, un autre regard sur son histoire personnelle. Faire la lumière sur les zones d’ombres qui aujourd’hui agissent inconsciemment dans notre relation à l’autre : que ce soit en famille, en couple, entre amis ou au travail.
Quand on souffre, il arrive de se remettre en question. Mais à notre insu, les possibilités de le faire soi même sont limitées. Par conséquent, faire une psychanalyse est un travail de dissection des effets de l’histoire du patient sur sa vie actuelle. Le but est de se libérer de l’intensité de la vie.
A propos de moi
3 ans et demi d’expérience au sein de fonctions RH en entreprise, de centres médico-psychologiques (CMP) et à l’hôpital de jour. Je suis membre de l’espace analytique. Dans l’ensemble, ma recherche s’oriente sur la question du fonctionnement psychique au plan structural.
Ma recherche
La société est la limite de réel qui s’oppose au désir individuel.
En premier lieu, mon projet de recherche se centre clairement autour de la question du fonctionnement psychique de l’individu au plan structural. Qu’est-ce qu’une structure psychique et comment s’organise-t-elle? Autrement dit, des questions qui ont constitué un tournant dans la psychanalyse à travers la pensée lacanienne. Au fond, ces questions qui sont indéniablement une suite à la métapsychologie freudienne. Par conséquent, il me semble important de les étudier encore aujourd’hui à un moment où beaucoup de patients se plaignent de dépression, d’un manque de jouir.